Ma Femme avait pris la précaution de ne pas s'asseoir sur mon sexe, désespérément "serti" dans "ma" CB . J'avais redouté cela ! j'étais un idiot ! Elle savait bien qu'après bientôt huit semaines de déni d'orgasme, je risquais d'éjaculer spontanément au moindre contact de son merveilleux entrecuisses sur mes génitoires, même sous cage !

Elle avait même prévu... disons... "mieux" :

• " Avec l'éjaculateur précoce que tu es biquet, je suis sur mes gardes !... J'ai mes petites pinces, que tu connais, pour calmer tes ardeurs ! mais c'est pour toi tu sais !... va pas croire !

Avoue que ce serait trop bête que tu craches ton foutre en deux secondes ! ahaha ! tu attends ce moment depuis... combien déjà ? trois semaines ? "

• " Bien plus du double ma Reine ! "

Elle avait une charmante moue d'incrédulité sur son fin visage ... je savais bien qu'elle ne pouvait croire que ça ne faisait QUE trois semaines qu'ils me privaient d'éjaculation !

• " Tu es sûr ?! Tu es tellement concentré sur ta misérable zigounette, tout le temps !... que tu finis par trouver le temps long... tu vois ! c'est normal ... En fait il faudrait vraiment que tu fasses un effort pour penser un peu à autre chose que ton vice !... enfin ! je ne t'en veux pas trop tant que tu nous sers bien et que tu es obéissant !... quoi qu'il en soit dans ton intérêt j'ai ces pinces ! "

Et ce disant, elle fixa sur chacun de mes tétons, si gonflés par le désir d'elle, les petites mâchoires de pinces à seins acérées. Les deux étaient reliées par une assez longue chaînette quelle souleva d'un doigt, en son centre dès la pose terminée !

Douleur immédiate pour moi ! Grimace ! Et entre deux pénibles tirages ( car elle jouait à soulever son doigt, puis relâcher son geste pour détendre la chaînette ) elle fit glisser son chaud fessier jusque sur mon sexe encagé !

• "Ma Reine ! V...vous oubliez ma cage de chasteté ! JJe... "

• " HHaahhahaa ! parce que tu croyais que j'allais t'enlever ton cache-sexe ! ahahah ! tu es trop drôle ! ahaha ! mon pauvre lapin ! oohh ! j'en pleure de rire ! " et elle fit le geste de s'essuyer un oeil d'un doigt de sa main libre ( car l'autre tirait toujours sur la fine chaîne... elle savait bien que sans cela j'aurais sans doute éjaculé .

• " D'ailleurs tu sais bien que c'est mon homme qui à la clé de cet utile objet qui t'empêche de faire tant de bêtises ! Ahaha ! tu me feras toujours rire toi ! Si tu n'existais pas il faudrait t'inventer ! ahahah !! "

Elle se trémoussait maintenant sans hésiter sur mon bas ventre et le haut de mes cuisses, en tirant sur les pinces qui semblaient devoir m'arracher les tétons... Puis elle ralentissait, en scrutant mon visage, et, y voyant des signes de "montée" de plaisir... tirait de nouveau fortement !

Si elle faisait tout pour contrarier et entraver le mien, son désir, lui, inéluctablement montait et au bout de quelques minutes de ce cruel traitement, fort jouissif à l'évidence pour elle, elle songea que la petite chaîne serait mieux entre ses dents, pour maintenir la morsure sur mes seins tout en libérant ses deux mains ...

Et du coup ce fut comme si c'était ses belles dents étincelantes qui me mordaient les bouts de seins ! Elle s'appuya d'une main sur ma cuisse pour rejeter vers l'arrière son corps sublime et soulager la pression sur son gros ventre, puis glissa l'autre main dans sa vulve trempée - dont la mouille atteignait mes couilles - en essayant de ne pas toucher ma cage et plus encore ma peau !

Et elle se donna du plaisir ainsi :

Je sentis finalement son corps se raidir, son bonheur l'envahir ! et des cris rauques et sauvages jaillirent de sa bouche ! mais ses mâchoires restèrent à l'évidence serrées sur la chaîne désespérément tendue ! car la tension sur mes tétons ne fléchit à aucun moment ! oh non !

J'avais espéré (et craint) ce relachement , à tort, encore une fois ... elle rejeta même davantage sa tête vers l'arrière en fin d'orgasme, ce qui me fit redouter un réel arrachement de tétons !

Elle resta ainsi quelques secondes, puis souleva son majestueux fessier avant de laisser tomber la chaînette et l'instrument de mes douleurs !

Alors, et toujours enjambant mon corps, mais sans contact dermique avec lui... après avoir tourné la tête vers mon ventre !

• " Tu n'as pas joui lapin !!... Bah ça alors !?...

Ahhahaha ! et tu nous pompes l'air tous les jours pour qu'on te laisse juter ?! ahaha ! c'est incroyable ! Tu viendras pas geindre ce soir au moins ! ... Ben tant pis pour toi !...

Tiens ! lèche moi ! fais ma toilette ! moi je suis pas fraîche ! "

Et elle vint installer ses trésors odorants et poisseux sur mon visage empourpré, pour une ou deux minutes, qui n'apaisèrent pas la tension sous ma cage ! Oh non !

Quand elle se leva, ce fut pour m'ordonner, en s'étirant et "grognant" son bien être, de changer les draps, pendant qu'elle allait faire son "gros popo ".

Après avoir ôté les draps, je suis allé comme d'habitude, quand je suis là pour ce moment rituel - Annabel a un transit parfaitement régulier, sauf exception - toiletter sa raie.

Elle s'étira encore :

• " Hummmh ! c'est bon de commencer la journée comme ça ! Je sens qu'elle va être radieuse !... avec ce beau soleil !...

N'oublie pas de tirer la chasse p'tite chose, et dépêche toi d'aller préparer mon petit déjeuner ! je meurs de faim ! Je le prendrai à la cuisine après ma douche... ou plutôt sur la terrasse tiens ! il fait déjà 22 dehors et il n'y a pas un poil de vent. Je vais profiter de ce lever matinal pour faire plein de choses ce matin ! je me sens vraiment bien ! "

Et elle sortit du cabinet de toilette en ondulant des hanches !... à m'en rendre malade et un peu plus idiot !

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